Dakhla est aujourd’hui assez mûre pour recevoir plus d’investissements, notamment dans le secteur du tourisme qui connaît un développement spectaculaire ces dernières années.

La route nationale, Tiznit Dakhla est prête à 70% et  va permetre notamment de facilité l’écoulement des produits exportés du Maroc ou de l’Europe vers l’Afrique subsaharienne et vice versa. Le branchement au réseau électrique de Dakhla est réalisé à 90%, il est donc en phase d’achévement. Le port Atlantique, d’un coût d’un milliard va également désenclaver la région et va façonner toute la zone Atlantique.

Dakhla regorge de beaucoup de potentiels : que ce soit dans le tourisme et la pêche mais aussi dans les énergies renouvelables ou encore l’agriculture, même si ce secteur est encore à l’état embryonnaire. Nous avons des tomates cerise et du melon locaux qui sont des produits d’une grande valeur et qui s’imposent petit à petit.

Sa Majesté le Roi a bien dit que l’un des objectifs du nouveau modèle de develeoppement des provinces du Sud est de faire en sorte qu’elles soient un hub vers l’Afrique.

Dakhla est la porte du Sud. Cette position géostratégique renforcée par ses investissements en infrastructures, ses zones logistiques et de commercse… en fait naturellement un hub stratégique.

Maintenant nous devons renforcer cette position, notamment grâce aux deux zones logistiques qui sont entrain d’être réalisées : une à Gueguralate et une à Birguendouz Ces deux zones vont répondre aux besoin des investisseurs.

Tous les grands projets qui ont été programmés sont en cours de réalisation. Nous avons une commission de suivi coiffée par le ministre de l’Intérieur qui se réunit régulièrement. Le niveau d’éxecution est très satisfaisant. Nous serons dans les temps impartis.
Nous pouvons dire aujourd’hui que Dakhla, au même titre que toutes les régions du sud sont un grand chantier à ciel ouvert grâce à l’impulsion donnée par Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu l’assiste.