Perdue entre les eaux de l’Atlantique et les sables du Sahara
Isolée du monde
Dakhla est mon havre de paix
Face à l’océan, la beauté de ta lumière me fascine
Le souvenir de la douceur de ton sable fin me hante
La caresse de la brise sur tes dunes me fait frémir
Les amateurs de sport de glisse t’ont abandonné…
Ils rêvent désormais de toi
De tes spots, de tes vagues, de tes vents…
Sous des cieux toujours dégagés, ton soleil est généreux
Comme ton peuple d’ailleurs, le cœur sur la main
Tu as été forte durant toute cette période, sérieuse aussi…
tu as protégé les tiens et le résultat est exceptionnel.
Porte du désert, ouvrant sur cette autre Afrique,
Dakhla tu seras aussi la porte de mon nouveau monde.
Alors attends moi…
moi et tous ceux qui ont une soif d’étendu, de nature et de véritables sensations.
Quelques jours ou quelques semaines encore…
Je serai bientôt là ;
Dès que le danger sera parti,
Dès que le monde sera sauvé,
Dès qu’on me laissera sortir…
Et à ce moment-là, je te le promets,
J’apprécierai chacune de toutes les richesses dont tu recèles…
Et je te promets d’en prendre soin…